Voici ce que Pénélope McQuade se souhaite pour sa cinquantaine | 7 Jours
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Voici ce que Pénélope McQuade se souhaite pour sa cinquantaine

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Photo : Patrick Séguin

Pénélope McQuade et sa nièce, Grace, n’ont pas hésité un seul instant à défier leur peur commune des hauteurs en effectuant une descente à 25 mètres du sol sur la tyrolienne du Vieux-Port de Montréal. Cette activité avait lieu dans le cadre du Défi des générations, à laquelle participent 17 fondations, notamment celle de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, dont Pénélope est la fière porte-parole. L’animatrice nous parle de son été et de ses projets.

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Pénélope, pourquoi la tyrolienne?
Tu dois d’abord savoir que j’avais proposé autre chose comme défi. Je voulais aller faire du yoga en paddle board parce que je n’en ai jamais fait, mais comme c’était un peu compliqué à organiser, on m’a plutôt proposé de faire de la tyrolienne dans le Vieux-Port. J’ai pensé que c’était la petite affaire qui ressemble à un bateau pirate dans le Vieux-Port, mais je m’étais trompée. Quand ma nièce et moi avons vu ce que c’était, on a capoté un peu. Ça m’a ramenée à l’époque de Fort Boyard: j’avais eu à faire le saut de l’ange, et celui-ci avait été extrêmement traumatisant. J’ai peur des hauteurs, mais ma nièce et moi sommes bien motivées à relever ce défi pour la cause. 

Qu’est-ce qui t’amène à participer au Défi des générations?
Je suis la porte-parole de la Fondation de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal depuis six ans. Cet établissement fait partie des quatre où j’ai reçu des soins à la suite de mon accident de voiture, en 2009. J’étais en traumatologie dans cet hôpital, et j’avais remarqué à l’époque à quel point cet endroit avait besoin d’amour et de réparations. Quand on m’a contactée pour en devenir la porte-parole, j’ai tout de suite accepté. Pour moi, c’était un juste retour du balancier. Je voulais m’impliquer. Il y a plein de nouveaux projets nécessaires et importants pour cet établissement, et j’ai eu envie de contribuer à leur financement. 

Tu as décidé de relever le défi avec ta nièce, Grace. Pourquoi?
Au début, je voulais le faire avec mon père, mais il n’a pas assez peur, donc ça n’aurait pas été un grand défi pour lui. Je me suis dit qu’il n’allait pas m’appuyer, puisqu’il ne comprendrait pas ma terreur. J’ai donc demandé à ma filleule, Grace, la fille de mon frère Sébastien. Elle a réfléchi et elle a décidé d’embarquer. Elle a aussi une grande peur des hauteurs, elle déteste même les manèges de La Ronde. 

Photo : Patrick Séguin


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Comment va ton père, Winston McQuade?
Il va super bien, il est en pleine forme et il m’impressionne beaucoup. Il a quand même traversé trois cancers! C’est une force de la nature. Il aura 79 ans en août, mais il travaille encore fort. Il enregistre ses capsules Le culturel 2.0 et il y fait quasiment autant d’entrevues que moi dans mon émission quotidienne. Il va toujours voir des spectacles le soir et il accompagne un peu partout sa blonde, qui est violoniste pour l’Orchestre Métropolitain. Le 2 août, j’animerai d’ailleurs le grand spectacle L’OM au pied du mont Royal.

Et comment va ta maman?
Ma mère, France, est plus diminuée physiquement, mais je l’ai rapprochée de chez moi. Elle habite maintenant un condo dans mon immeuble et elle a une petite cour. Je l’ai près de moi; c’est plus facile de l’aider pour ses courses et ses différents besoins. Ça me rend heureuse. Nous revenons d’une escapade dans le Bas-Saint-Laurent et ç’a été un magnifique voyage. Nous sommes allées à Kamouraska et au Bic. 

As-tu d’autres vacances cet été?
Oui, j’ai fait une retraite de yoga puis je suis revenue à Montréal et je me suis reposée. J’ai dormi pendant une semaine. Durant mes vacances, je rattrape tellement de temps perdu dans l’année, où ma vie sociale est presque inexistante. Il me reste trois semaines de congé avant mon retour en ondes et je compte bien en profiter. 

Et la vie amoureuse dans tout ça?
Elle est à moins dix depuis deux ans, je n’ai pas eu le moindre rendez-vous amoureux. J’ai tellement été en couple dans ma vie que c’est comme si je rattrapais le temps perdu en solitaire, avec mes amis et mes parents. Mon travail prend aussi beaucoup de place. Je ne trouve pas difficile d’être seule, mais j’adorerais être en couple. Toutefois, sans être fermée à l’amour, je n’y suis pas tant ouverte. À 51 ans, il ne manque pas grand-chose à ma vie. Je suis vraiment bien. 

Justement, comment entrevois-tu cette décennie de la cinquantaine?
J’avais adoré ma quarantaine, je me suis déployée professionnellement et je continue dans cette voie. Je poursuis l’apprentissage de mon métier, de la vie et des humains, et je ne vois cela que positivement. Je me suis aussi remise en forme, ces dernières années. Je fais beaucoup de yoga et ça me fait du bien. Après mon accident, je me voyais vieillir dans la douleur, donc je prends vraiment soin de mon corps. Les seules choses qui m’angoissent un peu sont de vieillir seule, sans enfant ni compagnon, et de voir vieillir mes parents. Je trouve ça très difficile, même si les deux sont encore allumés. C’est la seule petite ombre dans ma vie. Pour ma cinquantaine, je me souhaite de trouver l’équilibre entre ma vie personnelle et professionnelle. 

Vous avez jusqu’au 24 septembre pour vous engager dans le Défi des générations. Pour plus d’infos: defidesgenerations.com.
L’animatrice sera de retour à la barre de son émission
Pénélope sur ICI Première à la fin de l’été.

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