Chris Pine brise le silence sur le fameux «spitgate»

Chris Pine s’est retrouvé bien malgré lui, l’année dernière, au cœur d’un scandale impliquant un jet de salive. Pour la première fois depuis, l’acteur revient sur le fameux spitgate qui a enflammé les réseaux sociaux!
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Si la distribution du film Don’t Worry Darling était sous la loupe lors du Festival du film de Venise, en septembre dernier, en raison d’un conflit opposant la réalisatrice Olivia Wilde à l’actrice Florence Pugh, ce sont plutôt certaines réactions de l’acteur Chris Pine qui ont capté l’attention des médias. Cela a commencé par une vidéo devenue virale dans laquelle l’acteur de 42 ans réagit à ce qui semble être un crachat projeté sur son pantalon par sa covedette Harry Styles, lors de la projection du film. Si Chris n’avait pas commenté l’incident jusque-là, il s’ouvre aujourd’hui sur ce qui s’est réellement passé: «Harry ne m’a pas craché dessus, dit-il dans un vidéoclip produit par le magazine Esquire. C’est un gars très, très gentil.» S’il admet toutefois que la vidéo porte à confusion, il jure qu’aucun amas de salive ne s’est retrouvé sur ses vêtements.
Mème pas vrai
Chris a également voulu remettre les pendules à l’heure à propos de deux mèmes ayant circulé sur Internet. Le premier le montre le regard perdu dans le vide lors de la conférence de presse qui a suivi le visionnement de Don’t Worry Darling. Pour expliquer ce que beaucoup ont considéré comme étant un manque d’intérêt envers le film à promouvoir, il blâme le décalage horaire: «C’était un très long vol jusqu’en Italie, précise-t-il. J’étais “jetlagué” et je devais aller faire une conférence de presse pour parler d’un film dans lequel j’ai tourné il y a cinq ans et demi... J’étais vraiment fatigué!» Chris s’est aussi expliqué concernant un second mème dans lequel on l’aperçoit en train de fixer le plafond d’un air las: «Il faut savoir que les conférences à Venise ont lieu dans un des plus beaux bâtiments que j’ai jamais vus. Les plafonds avaient des teintes de bleu et des dorures, dit-il, et à ce moment-là, ce que je me demandais, c’était comment je pourrais reproduire ce style chez moi. C’est ça que j’avais en tête.» Pas de véritable scandale, donc. Voilà qui est dit!