Les maladies du coeur: une des grandes causes de mortalité | 7 Jours
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Les maladies du coeur: une des grandes causes de mortalité

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Les maladies coronariennes surviennent quand il y a accumulation de plaque sur la paroi interne des artères, ce qui ralentit le flot de sang et peut mener à de l’insuffisance cardiaque, une crise cardiaque ou un décès. Au Canada, elles sont la deuxième cause de mortalité après le cancer. On peut toutefois réduire nos risques de maladies du cœur de plusieurs façons. Voici un petit tour d’horizon des différents types de maladies coronariennes. 

La coronaropathie

C’est la maladie cardiaque la plus fréquente au Canada.
Il en existe trois sortes:

  • La coronaropathie avec obstruction, qui est caractérisée par des artères très rétrécies ou obstruées.
  • La coronaropathie sans obstruction, qui survient quand les artères principales se séparent en plus petits vaisseaux sanguins ou quand elles sont compressées par le muscle cardiaque.
  • La dissection spontanée de l’artère coronaire (DSAC) qui résulte du déchirement des vaisseaux sanguins du cœur. 

Peu importe le type de coronaropathie, celle-ci peut mener à une angine de poitrine (des douleurs thoraciques), une crise cardiaque (infarctus du myocarde) ou à un arrêt cardiaque.

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La maladie vasculaire périphérique

Cette maladie touche la circulation sanguine, mais plus particulièrement celle des jambes. On ressent alors de la douleur dans les mollets, surtout quand on marche.

L’accident vasculaire cérébral (AVC)

Un AVC se produit quand le flux sanguin vers une partie du cerveau est insuffisant, ce qui provoque l’interruption de la circulation sanguine à l’intérieur du cerveau (AVC ischémique) ou la rupture d’un vaisseau sanguin à l’intérieur du cerveau (AVC hémorragique). 

La cardiomyopathie

Il s’agit d’une maladie qui affecte le myocarde, soit le muscle cardiaque qui a pour rôle de pomper le sang normalement. Elle peut alors mener à une insuffisance cardiaque.

L’insuffisance cardiaque

Elle survient quand notre cœur ne parvient pas à bien pomper, ce qui affecte tout notre corps, qui ne reçoit pas assez de sang. On a alors le souffle court et les jambes enflées.

La cardiopathie rhumatismale

Cette maladie est le résultat d’une infection bactérienne contractée au cours de l’enfance qui se nomme fièvre rhumatismale. Elle touche les articulations et les valvules cardiaques et n’apparaît que plusieurs années après l’infection.

La cardiopathie congénitale

On naît avec cette affection qui peut se présenter sous diverses formes, allant d’un trou dans une paroi interne du cœur à une mauvaise circulation du sang dans le cœur et les poumons. 

Les symptômes d’une maladie cardiaque

Le plus souvent, les symptômes d’une maladie coronarienne mettent plusieurs années à faire leur apparition. L’affection silencieuse poursuit donc sournoisement sa progression avant de se manifester sous forme d’angine (malaise ou douleur à la poitrine) ou de crise cardiaque. On devrait toutefois être alerté si on souffre des symptômes suivants aussi bien durant un effort qu’au repos: 

  • Une douleur dans le bras, le cou ou la mâchoire;
  • Une sensation d’oppression dans la poitrine; 
  • Une sensation de brûlure ou de pression sous le sternum;
  • Des nausées;
  • De l’essoufflement;
  • De la transpiration;
  • Des palpitations (des battements de cœur rapides ou irréguliers);
  • Des évanouissements;
  • De l’enflure aux jambes et aux pieds; 
  • Une grande fatigue;
  • Un gonflement de l’abdomen ou un abdomen sensible au toucher; 
  • Une toux accompagnée de mucosités; 
  • Une augmentation de la miction nocturne; 
  • De la confusion et des troubles de la mémoire. 

Les facteurs de risque

Ils sont nombreux, mais outre l’hérédité, certains résultent de choix en matière de mode de vie. Voici toutefois les principaux:

  • Le diabète
  • Le tabagisme
  • Un mode de vie sédentaire
  • Une alimentation riche en gras, en sucre, en sel et en aliments transformés
  • Un taux élevé de «mauvais» cholestérol (LDL)
  • Un faible taux de «bon» cholestérol (HDL) ou lipoprotéines de forte densité
  • L’hypertension artérielle
  • L’obésité
  • L’apnée du sommeil 
  • Le sexe: si les hommes sont deux fois plus susceptibles de faire une crise cardiaque que les femmes, ces dernières sont plus exposées si elles prennent la pilule contraceptive, car ce type de contraception augmente le risque d’hypertension artérielle et de caillots sanguins. Le risque est encore plus élevé si, en prenant la pilule contraceptive, elles fument et ont plus de 35 ans, mais aussi qu’elles souffrent d’hypertension artérielle ou de troubles de circulation sanguine. 
  • L’âge: 45 ans ou plus pour l’homme et 55 ans ou plus pour la femme.
  • L’ethnicité: il semble que les membres des Premières Nations et les personnes de descendance africaine ou asiatique soient plus susceptibles d’être atteints d’une maladie du cœur. 

Poser le bon diagnostic!

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Notre médecin nous questionnera avant tout sur nos symptômes et consultera notre dossier médical pour voir si on souffre d’une condition pouvant mener à une maladie cardiaque (le diabète, par exemple).  

Les différents tests

Pour confirmer son diagnostic, le médecin pourra nous prescrire un ou plusieurs tests parmi les suivants:

  • un échocardiogramme;
  • un électrocardiogramme (ECG);
  • une radiographie des poumons;
  • une épreuve d’effort;
  • un cathétérisme cardiaque. 

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Le bon traitement

Différents médicaments peuvent nous être prescrits selon qu’on souffre d’une condition sous-jacente comme le diabète, l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle. Pour traiter les troubles cardiaques, plusieurs classes de médicaments peuvent être utilisées, dont: 

Les antiarythmiques
On y a recours pour prévenir et traiter les troubles du rythme cardiaque, soit la tachycardie (notre cœur bat trop vite), l’arythmie (il bat de façon irrégulière) ou la tachyarythmie, c’est-à-dire ces deux conditions à la fois. 

Les diurétiques
Ces médicaments réduisent la pression artérielle en diminuant les réserves de sodium de l’organisme, car les diurétiques favorisent l’élimination de sel dans les urines. Ils sont le plus souvent prescrits pour traiter l’hypertension artérielle et l’insuffisance cardiaque. 

Les anticoagulants et les antiagrégants plaquettaires
Les anticoagulants visent à fluidifier le sang pour qu’il coagule moins facilement, et donc éviter qu’il ne forme aisément des caillots. Si la coagulation du sang est un phénomène normal qui a pour objectif d’arrêter un saignement quand on se blesse, dans le cas d’une maladie cardiaque, la formation d’un caillot peut entraîner un AVC ischémique. On prescrit généralement des anticoagulants en cas de fibrillation auriculaire et quand une phlébite ou une embolie pulmonaire sont survenues. Mais, quand on a déjà eu un infarctus du myocarde, les antiagrégants plaquettaires (Aspirine) sont souvent recommandés, car ils empêchent les plaquettes de s’agglutiner et de former un caillot sanguin. Or la prise de médicaments anticoagulants et antiagrégants doit être bien contrôlée par notre médecin, car en surdosage, ils peuvent causer une hémorragie.

Les bêtabloquants, autre nom des «bloqueurs des récepteurs bêta-adrénergiques», ont pour objectif de réduire la fréquence cardiaque et la pression artérielle de manière à alléger la tâche du cœur. Ils sont prescrits en cas d’infarctus du myocarde, d’hypertension artérielle, d’angine de poitrine, d’arythmie cardiaque et d’insuffisance cardiaque.

La nitroglycérine
Ce médicament de la classe des nitrates est utilisé pour traiter l’angine de poitrine et il agit en dilatant les vaisseaux sanguins et les artères coronaires. La nitroglycérine ne doit être utilisée que lors d’une crise angineuse. 

En chiffres

Selon les données 2017-2018 obtenues par le Système canadien de surveillance des maladies chroniques (SCSMC), près d’un Canadien sur 12 âgé de 20 ans ou plus vit avec une maladie du cœur diagnostiquée et environ 14 Canadiens en décèdent chaque heure. Or, depuis 2000, il semble que le nombre de nouveaux diagnostics de maladie du cœur chez les adultes canadiens soit passé de 217 600 à 162 730, ce qui est une excellente nouvelle.  

Des interventions plus importantes

Lorsque la médication n’est pas suffisante et qu’un traitement plus agressif est nécessaire pour améliorer notre circulation sanguine, notre médecin pourrait nous recommander ceci: 

L’intervention coronarienne percutanée
L’angioplastie avec endoprothèse est une procédure non chirurgicale durant laquelle le médecin insère dans l’artère rétrécie, au moyen d’un cathéter (tube mince), un tube en treillis qui gardera le vaisseau ouvert, permettant ainsi une bonne circulation sanguine. 

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Le pontage coronarien
Une intervention chirurgicale à cœur ouvert qui vise à utiliser un vaisseau sanguin d’une autre partie du corps pour créer un «pont» autour de l’artère coronaire bouchée ou rétrécie.  

Prévention des maladies coronariennes? 

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La prévention repose sur différents aspects, mais il semble qu’en changeant nos habitudes de vie, jusqu’à 80 % des maladies cardiovasculaires prématurées pourraient être évitées. Voici ce qu’il faut faire. 

Cesser le tabagisme

Il semble que le risque d’AVC soit deux fois plus élevé chez les consommateurs de produits du tabac (les personnes exposées à la fumée secondaire seraient également vulnérables). Il importe donc d’arrêter tout produit qui contient de la nicotine, y compris la gomme, le tabac à priser et le tabac à mâcher.

Limiter notre consommation d’alcool

Une consommation importante d’alcool peut augmenter la pression artérielle et le risque de développer une arythmie cardiaque, comme la fibrillation auriculaire. Il serait donc important de limiter notre consommation d’alcool à: 

  • deux verres par jour au maximum pour les femmes;
  • trois verres par jour au maximum pour les hommes. 

Un verre d’alcool est égal à:

341 ml (12 oz) de bière ou de cidre à 5 % d’alcool;
142 ml (5 oz) de vin à 12 % d’alcool;
43 ml (1,5 oz) d’alcool distillé à 40 % d’alcool.

Réduire notre stress

Le stress a des effets considérables sur le corps, notamment sur la santé de notre cœur. Un stress soudain et intense pourrait par exemple augmenter le risque à court terme de souffrir d’une crise cardiaque. Et si on subit du stress sur de longues périodes, on accroît nos chances de développer une coronaropathie. Il est donc essentiel de contrôler, voire réduire, notre stress au quotidien. Lire un livre, écouter de la musique douce, marcher dans la forêt, visiter un ami, pratiquer la méditation, la cohésion cardiaque, le yoga, le qi gong ou le tai-chi: autant de bons moyens de diminuer notre stress.  

Maintenir notre poids santé 

Pour éviter le surpoids et l’obésité, il faut d’une part faire de l’activité physique régulièrement et, d’autre part, avoir une saine alimentation. Voici des recommandations pour faire de meilleurs choix alimentaires. 

Faire le plein de fruits et de légumes

Les légumes et les fruits (surtout ceux de couleur rouge, orange et jaune) devraient composer la moitié de notre assiette, car ils sont d’excellentes sources de substances nutritives (antioxydants, vitamines, minéraux et fibres) et aident à conserver un poids sain.

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Choisir des aliments à grains entiers 

Il vaut mieux choisir du pain, des pâtes, des craquelins à grains entiers, car ils contiennent des protéines et des vitamines du complexe B, qui sont bonnes pour la santé, mais qui contiennent aussi des fibres qui nous aident à rester rassasiés plus longtemps. Pour les mêmes raisons, on optera pour le riz brun, le gruau et le quinoa. Enfin, les grains entiers devraient combler le quart de notre assiette. 

Varier les sources de protéines

Il est important de manger des aliments protéinés chaque jour, car ils aident à la formation et à la santé des os, des muscles et de la peau. Il ne reste qu’à varier leur source. Ainsi, on mettra au menu la volaille, le porc, la viande rouge maigre, les œufs, le poisson et les fruits de mer, mais aussi les légumineuses, le yogourt grec et le fromage faibles en gras ainsi que le lait écrémé ou à 1 %.

Préférer l’eau à toute autre boisson

Non seulement l’eau est essentielle à la santé, mais elle ne contient aucune calorie, comparativement aux jus de fruits ou de légumes, aux boissons gazeuses, aux cafés aromatisés et à l’alcool. Le café et le thé sans sucre sont aussi des options acceptables. 

Autres conseils alimentaires

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  • De manière à éviter le plus possible les aliments transformés ou du commerce, on cuisine nos muffins, nos biscuits et nos gâteaux, et on remplace une partie du sucre de nos recettes par de la compote de pommes.
  • On vise deux portions de poisson gras par semaine pour leur apport en oméga-3.
  • Si on a une envie de dessert, mieux vaut se tourner vers le yogourt glacé ou le lait glacé plutôt que la crème glacée, qui est plus grasse et plus calorique.
  • Le plus souvent possible, on cuit nos aliments au four, en papillote ou à la vapeur plutôt que dans du gras.
  • Plutôt que d’acheter des vinaigrettes du commerce, on prépare les nôtres avec de l’huile d’olive.
  • On tente de manger au minimum un repas végétarien par semaine.
  • On remplace le plus possible le sel par des fines herbes quand on cuisine. 

Les bienfaits de l’exercice physique

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Si on souffre d’une maladie coronarienne, effectuer régulièrement de l’exercice physique aura plusieurs effets bénéfiques sur notre santé, en commençant par stabiliser, ralentir et parfois même renverser l’affection. Et, bien entendu, cela permet de contrôler les facteurs de risque comme l’embonpoint, mais aussi d’abaisser la tension artérielle, le cholestérol et la glycémie. Il est recommandé de pratiquer une activité physique aérobique au minimum trois fois par semaine, à intensité modérée, pour une durée de 20 à 60 minutes. Mais, avant de se mettre à l’entraînement, si on a reçu un diagnostic de maladie cardiaque, il est préférable de consulter un kinésiologue pour déterminer la fréquence, la durée et l’intensité de nos entraînements. Ensuite, il est essentiel de bien s’échauffer avant de pratiquer un sport et de s’octroyer une période d’étirements et de respiration profonde à la fin. De plus, pendant l’exercice, il est normal de ressentir une légère fatigue et d’être légèrement en sueur, mais il est important de réduire nos efforts si: 

  • on se sent étourdi ou nauséeux;
  • on est très essoufflé (on devrait pouvoir être capable de tenir une conversation en s’entraînant); 
  • on a des palpitations cardiaques ou des douleurs à la poitrine;
  • on transpire abondamment (ou notre peau est froide et moite). 

Comment perdre du poids de façon saine

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Parce que le surpoids et l’obésité sont des facteurs de risque importants pour les maladies coronariennes, il est important de tenter de perdre nos livres excédentaires. Il faut toutefois y aller doucement, surtout si on a un diagnostic d’affection du cœur, et viser la perte de 1⁄2 à 2 lb par semaine. Voici comment procéder:

  • On mange trois repas par jour et deux petites collations santé si on a faim. On ne laisse pas passer plus de 4 à 6 heures entre nos repas principaux. 
  • On réduit nos portions, mais si on a faim, on ajoute plus de légumes dans notre assiette.
  • On tient un journal alimentaire et on y note non seulement ce qu’on mange, mais aussi nos progrès en matière de perte de poids.
  • On fait au minimum 150 minutes d’activité physique à intensité modérée par semaine.
  • On essaie de dormir au moins 7 heures par nuit. 

Les sports appropriés aux maladies coronariennes 

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La marche

Si on veut se remettre en forme en douceur, la marche est tout indiquée. Voici comment procéder:

Semaines 1 et 2: on marche de 5 à 10 minutes par jour.

Semaines 3 et 4: on marche de 10 à 15 minutes par jour.

Semaines 5 et 6: on passe de 15 à 20 minutes par jour.

Semaines 7 et 8: on vise de 20 à 30 minutes par jour.

Semaines 9 et 10: si on s’en sent la force, on essaie de marcher de 30 à 40 minutes par jour.

On conserve le rythme qui nous sied de manière à en faire un mode de vie, l’important étant de bouger chaque jour. Et si on se sent suffisamment en forme pour intégrer d’autres sports, on leur consacre deux ou trois séances par semaine à la place de la marche. 

Marcher par intervalles

Si on ne parvient pas à marcher pendant cinq minutes d’affilée, il reste à se mettre à l’entraînement par intervalles. On marche de deux à cinq minutes et on fait une pause de deux à cinq minutes. On répète ce cycle de marche aussi longtemps qu’on le peut. Petit à petit, on sera capable de s’arrêter moins souvent et moins longtemps de manière à pouvoir, à terme, marcher de 30 à 40 minutes d’affilée chaque jour. 

Marche nordique

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La marche nordique est une forme de marche qui sollicite les muscles du tronc, des bras et des jambes. Elle se pratique avec des bâtons de marche qui ressemblent à des bâtons de ski. Il y en a deux types: les monobrins à taille fixe, offerts en différentes tailles, et les télescopiques, facilement réglables. Si on manque d’équilibre, il vaut mieux opter pour les bâtons à taille fixe, car ils sont plus solides et plus légers que les bâtons télescopiques, mais ces derniers ont l’avantage d’être plus faciles à transporter. Pour pratiquer la marche nordique, il suffit de marcher en poussant fermement contre le sol avec les bâtons, en alternant. Beaucoup plus exigeante que la marche ordinaire, elle permet de fournir une plus grande dépense énergétique et d’avoir une meilleure oxygénation. C’est aussi un exercice à faible impact qui peut être pratiqué par tous et qui offre de réels bénéfices pour la santé cardiaque.

La danse

Plusieurs études avancent que la danse a de nombreux avantage en matière de santé cardiovasculaire, neurologique et mentale. Toutefois, si on a reçu un diagnostic de maladie coronarienne, il est essentiel de s’en tenir à des danses au rythme modéré, comme la valse lente, la bachata, le tango argentin, le kizomba et la danse en ligne.

Le yoga

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Le yoga est un très bon exercice pour le corps et l’esprit, car il combine des exercices physiques variés et des exercices de respiration. Selon de nombreuses études, cette activité diminuerait certains facteurs de risque associés aux maladies cardiovasculaires, à l’hypertension, au diabète de type 2, à l’obésité, à l’hypercholestérolémie et au stress. À pratiquer sans modération. 

Le Qi Gong

Cette activité physique n’aide pas seulement à garder des articulations en bonne santé, mais ses exercices auraient aussi démontré leurs bienfaits pour la santé cardiovasculaire, car ils réduiraient l’hypertension et le mauvais cholestérol.

BON À SAVOIR!

Une fois qu’on aura retrouvé la forme, on pourra se mettre à la natation, à la course et au vélo, mais seulement sur recommandation de notre médecin, car ces sports exigent plus d’efforts cardiovasculaires. 

PSITT!

Pour éviter de trop forcer, il est bien sûr préférable de choisir un terrain plat pour aller marcher. De plus, il est important d’attendre au moins une heure après un repas avant de faire de l’exercice. 

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